dimanche 30 octobre 2011

005 Un réseau de plus de 1500 "pédophiles" démantelé

Un réseau de plus de 1500 "pédophiles" démantelé par Anonymous

C’est un exploit et un réel problème à la fois. L’opération Darknet d’Anonymous a réussi cette dernière semaine un important coup de force, détruisant un des plus gros réseaux d’échange de contenu pédopornographique du Net.
1626 utilisateurs démasqués, plus de 100 Go de contenu pédopornographique supprimé… C’est a priori très impressionnant. D’autant que l’opération n’était pas aisée, le réseau étant bien caché. C’est en tout 40 sites qui sont tombés, tous sur le même hébergeur, baptisé Free Hosting, qui a du mal à s’en remettre. Les anonymes de l’opération Darknet ont également fait des recherches sur l’administrateur de l’hébergement, le qualifient proche des réseaux pédophiles et de la mafia russe.
Si les centaines de noms, pseudos et adresses IP recueillies devraient être remis aux autorités, il n'en reste pas moins qu’il pourrait y avoir parmi eux des policiers infiltrés, et que l’opération risque de faire capoter toute tentative de poursuite faute de preuve. Celles recueillies devraient être déclarées irrecevables devant un tribunal vue la méthode employée pour les récolter. Alors certes, les pédophiles concernés doivent être très contrariés, mais sûrement moins que les policiers s’ils avaient réussis à infiltrer le réseau et s'ils avaient une enquête en cours.
Deep Net ou l’internet profond
L’opération est au moins source d’enseignements pour comprendre où se cachent les réseaux pédophiles sur Internet. Ils sont dans le Web profond, une partie toile à laquelle les robots de Google n’ont pas accès. C’est dans ce cas via l’outil Tor, qu’on s’y connecte. Une technologie aujourd’hui open source mais créée par l’armée américaine, qui fait passer la connexion de l’utilisateur via moult serveurs volontaires au travers du monde, dans le but de rendre son origine intraçable. Là était caché un sous-espace baptisé Hidden Wiki, accessible donc uniquement via Tor, dans lequel étaient masqués les sites pédophiles sous des URL improbables.
Attention toutefois à ne pas considérer le Web profond comme une zone de non droit, un repère à criminels de toute sorte. C’est grâce à Tor justement, que ces mêmes Anonymous et Télécomix permettent aux cyber-dissidents des dictatures d’informer et de communiquer en sécurité, en passant outre la censure et la répression des états. Voir à ce sujet le cas syrien : Des hackers sous la bannière des révolutions arabes

003 Un médecin dénonce le réseau pédophile belge

Radié à vie de l'ordre des médecins, par voies de faits, après avoir dénoncé le réseau pédophile de l'ULB. Dr Serge Tueche.

par Serge Tueche, lundi 17 octobre 2011, 12:59
Radiation abusive de l'ordre des médecins du Dr Serge Tueche, par le Dr Janos Frühling, suite à la dénonciation par la Dr Serge Tueche, du réseau pédophile de l'ULB dirigé par le Dr Jean Klastersky.
Cette radiation est une mise à mort professionnelle le Dr Tueche ne pouvant donc plus exercer ni en Belgique, ni en France, ni même en Grande Bretagne, où il faut chaque fois fournir une sorte de soft conduit de l'ordre des médecins de son pays d'origine.
Or une radiation à vie, comme celle-ci est en général la sanction d'une faute ineffable par sa gravité.
...l'article du De Morgen traite spécifiquement ce dossier tel que décrit ci-dessous...
Le procureur du Roi dans le réseau pédophile de l'ULB.
A propos de la juge Yvette Paridaens du tribunal de la jeunesse, qui est donc chargée dans ce réseau pédophile d'isoler comme je l'ai déjà dit les enfants de leurs parents, afin de livrer ceux-ci à leurs prédateurs; je dois donc préciser ce qui suit.
Dans le cas que je décris, l'ordonnance de privation abusive et à vie de droits parentaux, a été rendu dans une procédure qui n'est pas équitable, en ceci que je n'ai pas été convoqué à l'audience, pas plus que je n'ai été notifié de la décision rendue(pas plus que l'enfant, dois je le rappeler).
Ceci alors même qu'une procédure d'instruction avait permis d'échanger des mémoires, dans lesquels je demandais explicitement la présentation et la représentation de l'enfant, selon le droit national et international.
Mes coordonnées de correspondance étant donc parfaitement connues de la juge Yvette Paridaens, qui a tout simplement choisi de ne pas me convoquer à l'audience, ni de m'y notifier son l'ordonnance.
J'ai donc fait opposition de la décision dès que j'en ai eu connaissance, en 2005, et de manière répétée, y compris encore en octobre et novembre 2010, sans aucune suite.
La juge Yvette Paridaens, qui reçoit directement ces instruction des responsables de ce réseau pédophile, notamment Jean Klasterski et Johan Frühling, lesquels lui assurent le silence des média, par les contacts qu'ils y ont, ainsi qu'une certaine impunité au niveau de la chancellerie.
Le procureur du Roi de Bruxelles, qui est le plus haut magistrat chargé de pallier, en ces circonstances à la sauvegarde des droits de l'enfant a été lui aussi saisi à de multiples réprises, sans jamais donner la moindre suite.
Ce qui me convainc de la parfaite implication de ce haut magistrat, dans le fonctionnement de ce réseau pédophile.
Ceci sont donc les fondements mêmes de la pédophilie, qui ne saurait exister, sans des appuis sûrs au niveau du tribunal de la jeunesse et du parquai.
Il importe donc que tous et chacun de nous, indépendamment de nos divergences ethno-confessionnelles, philosophiques et politiques, et ceux qui n'approuvent pas les violences faites aux enfants, se fassent eux mêmes l'écho de cette affaire, pour que la justice et l'équité soient.
Notre pays agonise d'une infection pernicieuse, qui est principalement la corruption, qui a gangréné depuis si longtemps nos politiques, désormais nos médias, et comme on le voit ici, jusqu'à une certaine partie de la justice.
Nous sommes donc tous concernés.
Dès lors que la justice des enfants n'est pas garantie et même élevée au dessus de toute priorité, rien ne va plus et toutes gesticulations actuelles de nos politiques sont vaines et la pays se disloque dans sont effondrement, et sa fin sous sa forme actuelle est une évidence certaine.
Malgré tous ces soubresauts.
Nous sommes tous concernés.
Car comment un tel état de chose a-t-il pu se faire?
Sauf par notre complaisance coupable ou même passive.

ps: j'attire votre attention, que depuis plus de 4 mois que j'ai ouvert ce blog, ni l'ULB, aucun membre de ce réseau, n'a intenté aucune action en diffamation, ni aucune en justice comme de droit, ce qui suffit à lever tout doute dans l'esprit des plus sceptiques.
En revanche, depuis l'ouverture du blog, l'ULB a chargé deux détectives pour me suivre et me filer dans mes moindres gestes, le jour et la nuit, usant de tous les moyens, de la filature par mon téléphone portable, et autres. J'ignore pourquoi cette filature maladroite.
Dr Serge Tueche.
...ci-dessous extrait du quotidien Le Matin...
Discrimination à l'hôpital.
Un étudiant en chirurgie, licencié de son stage pour maladie, cherche justice depuis 5 ans... L'intéressé nous confie qu'il compte beaucoup sur la justice belge. Les autorités concernées devront ce prononcer sur le sujet pour le premier trimestre 2005...Un dossier à suivre.
D'origine camerounaise, Serge Tueche a été viré de Brugmann pour motifs douteux.
L'histoire que vous lirez dans cet article n'est pas le scénario du dernier film de Michael Mann (Insider). Ni même le récit du dernier thriller de John Grisham. C'est l'histoire d'un candidat spécialiste en chirurgie qui vit dans un univers kafkaïen depuis neuf mois. Pourquoi? Parce que sa tête ne plaisait pas, parce qu'il est tombé sur la fine fleur du monde médical mais surtout parce la couleur de sa peau ne correspond pas aux critères requis pour être un bon chirurgien. Un ancien professeur l'avait pourtant bien prévenu: "Les femmes et les noirs ne sauraient pas être chirurgiens".
Cette histoire, c'est celle de Serge Tueche, un Camerounais qui, grâce à ses exploits, a bénéficié d'une bourse pour étudier en Belgique. Inspiré par l'esprit-exaministe, Serge effectue ses 7 années de médecine à l'ULB sans problème. Sa distinction (78%) lui permet d'être sélectionné pour suivre une formation en chirurgie générale de six ans. Les quatre premières années se déroulent sans problème: durant la deuxième année, il se classe parmi les trois meilleurs pour le test d'évaluation du ministère de la Santé; en troisième année, il obtient 80% et en quatrième année, ses recherches scientifiques lui valent les félicitations du professeur Lambillotte, président de sa licence spéciale à cette époque. Mais dès le début de sa cinquième année 98-99, le vent tourne.
Bienvenue à Brugmann
Serge avait déjà passé la première année de sa formation à l'hôpital Brugmann et savait que l'atmosphère y était tendue. Dès le début de l'année, son maître de stage, le professeur Deuvaert ne se montre pas très coopératif. Selon nos information, il ne permet pas à Serge d'apprendre le métier mais limite la formation à une assistance purement technique. Et le professeur Devaert ne corrige pas les articles scientifiques de Serge. Or, le maître de stage est également (selon l'arrêté ministériel de 30 août 1978) censé stimuler les stagiaires au travail scientifique. Inquiet, Serge contacte en mai 99 le nouveau président de sa licence, Michel Gelin, qui ne bouge pas. Dès lors, il s'adresse au ministère de la Santé qui, dans ce cas, peut désigner un maître de stage dans un autre hôpital. Mais le ministère donne le poste de "maître de stage" au professeur Mendes da Costa de l'hôpital Brugmann. Inutile de préciser que les chose se gâtent.
Selon nos informations, ce dernier inflige un horaire très lourd à Serge. Et le vendredi 9 juillet, à la suite de 38 jours de travail sans récupération ni week-end, Serge craque. Après avoir passé une nuit de garde à l'hôpital Brien, il est attendu à l'hôpital Brugmann à 8 heures du matin (alors que le stagiaire a droit à 12h de repos). Avant de s'y rendre, il boit un café chez lui mais tombe en léthargie. N'ayant pas prévenu son maître de stage, l'hôpital envoie la police chez lui qui n'hésite pas à défoncer trois portes pour lui demander ses papiers. Le dimanche 11 juillet, Serge appelle son maître de stage en soirée pour avertir qu'il sera encore malade quelques jours. Celui-ci lui annonce son licenciement aussi sec.
Magali Uytterhaeghe...