dimanche 30 octobre 2011

005 Un réseau de plus de 1500 "pédophiles" démantelé

Un réseau de plus de 1500 "pédophiles" démantelé par Anonymous

C’est un exploit et un réel problème à la fois. L’opération Darknet d’Anonymous a réussi cette dernière semaine un important coup de force, détruisant un des plus gros réseaux d’échange de contenu pédopornographique du Net.
1626 utilisateurs démasqués, plus de 100 Go de contenu pédopornographique supprimé… C’est a priori très impressionnant. D’autant que l’opération n’était pas aisée, le réseau étant bien caché. C’est en tout 40 sites qui sont tombés, tous sur le même hébergeur, baptisé Free Hosting, qui a du mal à s’en remettre. Les anonymes de l’opération Darknet ont également fait des recherches sur l’administrateur de l’hébergement, le qualifient proche des réseaux pédophiles et de la mafia russe.
Si les centaines de noms, pseudos et adresses IP recueillies devraient être remis aux autorités, il n'en reste pas moins qu’il pourrait y avoir parmi eux des policiers infiltrés, et que l’opération risque de faire capoter toute tentative de poursuite faute de preuve. Celles recueillies devraient être déclarées irrecevables devant un tribunal vue la méthode employée pour les récolter. Alors certes, les pédophiles concernés doivent être très contrariés, mais sûrement moins que les policiers s’ils avaient réussis à infiltrer le réseau et s'ils avaient une enquête en cours.
Deep Net ou l’internet profond
L’opération est au moins source d’enseignements pour comprendre où se cachent les réseaux pédophiles sur Internet. Ils sont dans le Web profond, une partie toile à laquelle les robots de Google n’ont pas accès. C’est dans ce cas via l’outil Tor, qu’on s’y connecte. Une technologie aujourd’hui open source mais créée par l’armée américaine, qui fait passer la connexion de l’utilisateur via moult serveurs volontaires au travers du monde, dans le but de rendre son origine intraçable. Là était caché un sous-espace baptisé Hidden Wiki, accessible donc uniquement via Tor, dans lequel étaient masqués les sites pédophiles sous des URL improbables.
Attention toutefois à ne pas considérer le Web profond comme une zone de non droit, un repère à criminels de toute sorte. C’est grâce à Tor justement, que ces mêmes Anonymous et Télécomix permettent aux cyber-dissidents des dictatures d’informer et de communiquer en sécurité, en passant outre la censure et la répression des états. Voir à ce sujet le cas syrien : Des hackers sous la bannière des révolutions arabes

003 Un médecin dénonce le réseau pédophile belge

Radié à vie de l'ordre des médecins, par voies de faits, après avoir dénoncé le réseau pédophile de l'ULB. Dr Serge Tueche.

par Serge Tueche, lundi 17 octobre 2011, 12:59
Radiation abusive de l'ordre des médecins du Dr Serge Tueche, par le Dr Janos Frühling, suite à la dénonciation par la Dr Serge Tueche, du réseau pédophile de l'ULB dirigé par le Dr Jean Klastersky.
Cette radiation est une mise à mort professionnelle le Dr Tueche ne pouvant donc plus exercer ni en Belgique, ni en France, ni même en Grande Bretagne, où il faut chaque fois fournir une sorte de soft conduit de l'ordre des médecins de son pays d'origine.
Or une radiation à vie, comme celle-ci est en général la sanction d'une faute ineffable par sa gravité.
...l'article du De Morgen traite spécifiquement ce dossier tel que décrit ci-dessous...
Le procureur du Roi dans le réseau pédophile de l'ULB.
A propos de la juge Yvette Paridaens du tribunal de la jeunesse, qui est donc chargée dans ce réseau pédophile d'isoler comme je l'ai déjà dit les enfants de leurs parents, afin de livrer ceux-ci à leurs prédateurs; je dois donc préciser ce qui suit.
Dans le cas que je décris, l'ordonnance de privation abusive et à vie de droits parentaux, a été rendu dans une procédure qui n'est pas équitable, en ceci que je n'ai pas été convoqué à l'audience, pas plus que je n'ai été notifié de la décision rendue(pas plus que l'enfant, dois je le rappeler).
Ceci alors même qu'une procédure d'instruction avait permis d'échanger des mémoires, dans lesquels je demandais explicitement la présentation et la représentation de l'enfant, selon le droit national et international.
Mes coordonnées de correspondance étant donc parfaitement connues de la juge Yvette Paridaens, qui a tout simplement choisi de ne pas me convoquer à l'audience, ni de m'y notifier son l'ordonnance.
J'ai donc fait opposition de la décision dès que j'en ai eu connaissance, en 2005, et de manière répétée, y compris encore en octobre et novembre 2010, sans aucune suite.
La juge Yvette Paridaens, qui reçoit directement ces instruction des responsables de ce réseau pédophile, notamment Jean Klasterski et Johan Frühling, lesquels lui assurent le silence des média, par les contacts qu'ils y ont, ainsi qu'une certaine impunité au niveau de la chancellerie.
Le procureur du Roi de Bruxelles, qui est le plus haut magistrat chargé de pallier, en ces circonstances à la sauvegarde des droits de l'enfant a été lui aussi saisi à de multiples réprises, sans jamais donner la moindre suite.
Ce qui me convainc de la parfaite implication de ce haut magistrat, dans le fonctionnement de ce réseau pédophile.
Ceci sont donc les fondements mêmes de la pédophilie, qui ne saurait exister, sans des appuis sûrs au niveau du tribunal de la jeunesse et du parquai.
Il importe donc que tous et chacun de nous, indépendamment de nos divergences ethno-confessionnelles, philosophiques et politiques, et ceux qui n'approuvent pas les violences faites aux enfants, se fassent eux mêmes l'écho de cette affaire, pour que la justice et l'équité soient.
Notre pays agonise d'une infection pernicieuse, qui est principalement la corruption, qui a gangréné depuis si longtemps nos politiques, désormais nos médias, et comme on le voit ici, jusqu'à une certaine partie de la justice.
Nous sommes donc tous concernés.
Dès lors que la justice des enfants n'est pas garantie et même élevée au dessus de toute priorité, rien ne va plus et toutes gesticulations actuelles de nos politiques sont vaines et la pays se disloque dans sont effondrement, et sa fin sous sa forme actuelle est une évidence certaine.
Malgré tous ces soubresauts.
Nous sommes tous concernés.
Car comment un tel état de chose a-t-il pu se faire?
Sauf par notre complaisance coupable ou même passive.

ps: j'attire votre attention, que depuis plus de 4 mois que j'ai ouvert ce blog, ni l'ULB, aucun membre de ce réseau, n'a intenté aucune action en diffamation, ni aucune en justice comme de droit, ce qui suffit à lever tout doute dans l'esprit des plus sceptiques.
En revanche, depuis l'ouverture du blog, l'ULB a chargé deux détectives pour me suivre et me filer dans mes moindres gestes, le jour et la nuit, usant de tous les moyens, de la filature par mon téléphone portable, et autres. J'ignore pourquoi cette filature maladroite.
Dr Serge Tueche.
...ci-dessous extrait du quotidien Le Matin...
Discrimination à l'hôpital.
Un étudiant en chirurgie, licencié de son stage pour maladie, cherche justice depuis 5 ans... L'intéressé nous confie qu'il compte beaucoup sur la justice belge. Les autorités concernées devront ce prononcer sur le sujet pour le premier trimestre 2005...Un dossier à suivre.
D'origine camerounaise, Serge Tueche a été viré de Brugmann pour motifs douteux.
L'histoire que vous lirez dans cet article n'est pas le scénario du dernier film de Michael Mann (Insider). Ni même le récit du dernier thriller de John Grisham. C'est l'histoire d'un candidat spécialiste en chirurgie qui vit dans un univers kafkaïen depuis neuf mois. Pourquoi? Parce que sa tête ne plaisait pas, parce qu'il est tombé sur la fine fleur du monde médical mais surtout parce la couleur de sa peau ne correspond pas aux critères requis pour être un bon chirurgien. Un ancien professeur l'avait pourtant bien prévenu: "Les femmes et les noirs ne sauraient pas être chirurgiens".
Cette histoire, c'est celle de Serge Tueche, un Camerounais qui, grâce à ses exploits, a bénéficié d'une bourse pour étudier en Belgique. Inspiré par l'esprit-exaministe, Serge effectue ses 7 années de médecine à l'ULB sans problème. Sa distinction (78%) lui permet d'être sélectionné pour suivre une formation en chirurgie générale de six ans. Les quatre premières années se déroulent sans problème: durant la deuxième année, il se classe parmi les trois meilleurs pour le test d'évaluation du ministère de la Santé; en troisième année, il obtient 80% et en quatrième année, ses recherches scientifiques lui valent les félicitations du professeur Lambillotte, président de sa licence spéciale à cette époque. Mais dès le début de sa cinquième année 98-99, le vent tourne.
Bienvenue à Brugmann
Serge avait déjà passé la première année de sa formation à l'hôpital Brugmann et savait que l'atmosphère y était tendue. Dès le début de l'année, son maître de stage, le professeur Deuvaert ne se montre pas très coopératif. Selon nos information, il ne permet pas à Serge d'apprendre le métier mais limite la formation à une assistance purement technique. Et le professeur Devaert ne corrige pas les articles scientifiques de Serge. Or, le maître de stage est également (selon l'arrêté ministériel de 30 août 1978) censé stimuler les stagiaires au travail scientifique. Inquiet, Serge contacte en mai 99 le nouveau président de sa licence, Michel Gelin, qui ne bouge pas. Dès lors, il s'adresse au ministère de la Santé qui, dans ce cas, peut désigner un maître de stage dans un autre hôpital. Mais le ministère donne le poste de "maître de stage" au professeur Mendes da Costa de l'hôpital Brugmann. Inutile de préciser que les chose se gâtent.
Selon nos informations, ce dernier inflige un horaire très lourd à Serge. Et le vendredi 9 juillet, à la suite de 38 jours de travail sans récupération ni week-end, Serge craque. Après avoir passé une nuit de garde à l'hôpital Brien, il est attendu à l'hôpital Brugmann à 8 heures du matin (alors que le stagiaire a droit à 12h de repos). Avant de s'y rendre, il boit un café chez lui mais tombe en léthargie. N'ayant pas prévenu son maître de stage, l'hôpital envoie la police chez lui qui n'hésite pas à défoncer trois portes pour lui demander ses papiers. Le dimanche 11 juillet, Serge appelle son maître de stage en soirée pour avertir qu'il sera encore malade quelques jours. Celui-ci lui annonce son licenciement aussi sec.
Magali Uytterhaeghe...

jeudi 22 septembre 2011

002 CONCLUSIONS en défense contre le pact maçonnique, "La chaine du droit"

Dans cette affaire, il est établi, que tous les magistrats et avocats, de la première instance, de la Cour d'Appel Chambre commerciale et Conseiller doyen à la Cour de Cassation, ont tous suivi les instructions des décideurs à l'origine de la procédure collective.

Le pact maçonnique "La Chaîne du Droit" a donc été respecté à la lettre, pour avoir écarté le même document majeur de cette procédure, à savoir, la déclaration de créances de la Caisse de Congés Payés du Bâtiment Région Est.
Ce document majeur n'a, à aucun moment, été évoqué !!!!!
Les magistrats, intervenant dans cette procédure, à quelque niveau que ce soit, ont tous commis la faute lourde.

L'avoué, censé me défendre en Cour d'Appel de Nancy à savoir :
Avoués associés Louis BONET - Rémy LEINSTER - Christine WISNIEWSKI,
mais aussi l'avocat à la Cour de Cassation :
Maître Claire LE BRET DESACHE,
devront faire intervenir leur assurance, afin d'assurer le dédommagement à la hauteur du préjudice subi.


Suite opposition

                       à Ordonnance de Monsieur Patrick SAILLOUR,  
                            Juge Commissaire de la liquidation judiciaire de :

POUR        :  Jean-Claude PONSON  15 route de Méménil 88600 
                      FONTENAY




CONTRE : La SCP BIHR – LE CARRER – NAJEAN   7 Quartier de la 
                    Magdeleine 88000 EPINAL
   
                    Représentée par Maître Francis KIHL, avocat au sein de la
                    SELARL LORRAINE DEFENSE& CONSEIL
                                         Avocats au Barreau d’EPINAL, domiciliée en 
                                         cette ville 14 Quai Colonel Sérot






                                                 CONCLUSIONS
A - LES FAITS :

1 La cessation de paiement est invoquée, par la Caisse de 
      Congés Payés au regard de cotisations prétendues
       impayées.
2 - La cessation de paiement invoquée provoque l’ouverture de
      la procédure collective, suivant exploit de M° EICHINGER,
      huissier de justice à Epinal, la  CCPBRE a assigné Mr Jean-Claude
      PONSON en audience publique,
3 - La liquidation est prononcée le 27 septembre 2005 (pièce n°1),
      en retenant la cessation de paiement au 01 juillet 2004,
04 - Un état des créances déclarées est établi le 29 juin 2006,  
       (pièce n°2), 

05 - L’état de créances ne relève pas moins de 42 créanciers,
       pour un total déclaré de 290 080.30 €,

06 - La Cour d’Appel de Nancy confirme la liquidation et la date de
        cessation de  paiement au 01 juillet 2004, au prétexte que des
        cotisations de la CCPB restaient dues à cette date, et que
        Jean-Claude PONSON aurait lui-même déclaré
      reconnaître sa cessation de paiement au  4ème trimestre 2002,
      malgré ses oppositions à injonction de payer,

07 - Madame Pinot, conseiller doyen faisant fonction de président et
        rapporteur, à la Cour de Cassation, déclare non admis le pourvoi,
        en date du 08 mars 2011,

B - POUR MEMOIRE :

08 - La déclaration de créances faite en date du 23/12/2005,  par la
        CCPBRE révèle qu’il n’y a aucune cotisation impayée jusqu’au
        3ème trimestre 2005 (pièce n° 3)

09 - Le tribunal de commerce d’Epinal affirme que Jean-claude
       PONSON déclare ne pas avoir payé ses cotisations à la CCPBRE
       depuis 2002, et ce en audience du 27 septembre 2005

10 - La Cour d’Appel de Nancy, Chambre Commerciale, confirme la
       liquidation, mais également la cessation de paiement retenue au
      01 juillet 2004 pour cotisation  impayées à la CCPBRE alors même
      que la déclaration de créances de la CCPBRE ne relève aucune
      cotisation impayée jusqu ‘au 3ème trimestre 2005,

11 – Madame PINOT Conseiller doyen à la Cour de Cassation précise
       dans les moyens annexe à la décision : « …..Ces éléments
       démontrent que, contrairement à ce que prétend l’appelant le non-
       paiement des cotisations dues à la Caisses des Congés Payés
       du Bâtiment de la Région Est ne résultait pas d’un refus de régler,
       mais bien d’une impossibilité due à un actif disponible inexistant
       ou insaisissable. Les éléments dont dispose la Cour ne permettent
       pas de remettre en cause l’état de cessation des paiements
       de Monsieur Jean-Claude PONSON, qui a été fixée provisoirement
       et à bon droit au 1er juillet 2004 » ,
        Alors que Madame PINOT Conseiller doyen à la Cour de
        Cassation se devait de présenter à la Cour  une déclaration de
       créances de la Caisses des Congés Payés du Bâtiment de la région
       Est qui ne relevait aucune cotisation impayée jusqu’au 3ème
       trimestre 2005,


C – LA JURISPRUDENCE :

12 -  Jugement en révision 12 janvier 2008 Aff. Affaire Mouselli / 
        liquid. en première chambre B du tribunal de commerce de 
        Paris.    (pièce n°4)
        Rarement de telles insanités ont été proférées sur un tribunal de 
        commerce. «Manœuvres particulièrement  graves», «abus 
        caractérisé», «procédés inhabituels», «liquidation 
       anormale»,«grave fraude»… Il ne  s’agit pas  du ras-le-bol des 
       victimes de turpitudes consulaires, dépouillée  lors d’une procédure 
       de faillite, mais  d’extraits d’un jugement du 12 janvier 2008 de la 
       première chambre B du tribunal de commerce de Paris.
       Une fois la procédure lancée, on charge la barque - «augmentation 
       artificielle du passif»,  souligne le  jugement  en révision. Pour 
       justifier la liquidation, le tribunal avait initialement fait 
       état de dettes d’un montant de 27,5 millions de francs. Quinze ans 
      de réflexion plus tard, le tribunal s’avisera que le passif n’est finalement  
       que de 7,5 millions «C’est Retour vers le futur 3», ironise l’avocat de 
       Pierre Mouselli, Me Michaël Zibi. 
       Seule issue en vue :   d’énormes dommages et intérêts pour faute 
       lourde de la justice. Sur fonds publics, à moins que la chancellerie ne 
       se retourne contre certains individus à la manœuvre.


D – LE DROIT  :

13 - La déclaration de créances faite en date du 23/12/2005,  par la
         CCPBRE révèle qu’il n’y a aucune cotisation impayée jusqu’au 3ème
         trimestre 2005 et donc que l’état de cessation de paiement produit
         par la  dite Caisse ne repose que sur des frais sans fondement ,
        déclarés en créances en toute illégalité.
       
14 -  Le Conseiller à la Cour d’Appel se devait de relever que le Tribunal
        de Commerce d’Epinal s’était laissé abuser par la CCPBRE et
         Maître EICHENGER.
        Une pièce majeure, à savoir la déclaration de créances de la CCPBRE
        a été délibérément écartée
        Alors même que cette pièce doit obligatoirement être exigée par les
        juges de la Chambre Commerciale.
        En effet, ces juges doivent statuer au regard de cette pièce , comme la
        Loi le dicte. Et ne pas se contenter d’un relevé de dette réduite à un
        chiffre pour des cotisations prétendues antérieures à la déclaration
        d’insaisissabilité du bien immobilier de Jean-Claude PONSON.
        Dans ce cas, d’ailleurs, l’escroquerie par jugement est constituée,
        au regard de la définition donnée par la Cour  de Cassation, à savoir
        que la CCPBRE produit des pièces qui n’ont aucune valeur juridique
        pour écarter une pièce majeure en matière de procédure collective,
        à savoir la Déclaration de Créances,  elle-même et pour l’heure,
        conforme à ce que prétend Jean-Claude PONSON.

 15 -  Le Conseiller doyen de la Cour de Cassation, Madame PINOT se
         devait de relever que la Cour d’appel  avait écarté, en toute illégalité,
          la déclaration même  de créances de la CCPBRE, seule base légale
         de reconnaissance d’une dette jugée due , s’il en est besoin.
         Et Madame le Conseiller d’affirmer encore « ..Ces éléments démontrent
         que, contrairement à ce que  prétend l’appelant,le non-paiement des
         cotisations dues à la Caisses des Congés
         Payés du Bâtiment de  la Région Est ne résultait pas d’un refus de régler,
         mais bien d’une impossibilité à un actif  disponible, inexistant ou
         insaisissable. Les éléments dont dispose la Cour ne permettent pas de
         remettre en cause l’état de cessation des paiements de Monsieur
         Jean-Claude PONSON, qui a été  fixée provisoirement et à bon droit
         au 1er juillet 2004 »,  ( Pièce n°9)
        Alors même que dans sa déclaration de créances, la CCPBRE
        confirme qu’il n’y aucune cotisation  impayée jusqu’au 3ème trimestre
        2005,
       Alors même que cette pièce doit obligatoirement être exigée par les
       juges de la Chambre Commerciale.
        En effet, ces juges doivent statuer au regard de cette pièce , comme la
        Loi le dicte. Et ne pas se contenter d’un relevé de dette réduite à un
        chiffre pour des cotisations prétendues antérieure à la déclaration
        d’insaisissabilité  du bien immobilier de Jean-Claude PONSON.
        Dans ce cas, encore, l’escroquerie par jugement était constituée, au
        regard de la définition donnée par la  Cour  de Cassation, à savoir
        que la CCPBRE produit des pièces qui n’ont aucune valeur juridique
        pour écarter une pièce majeure en matière de procédure collective,
        à savoir la Déclaration  de Créances, et, pour l’heure conforme à
        ce que prétend Jean-Claude PONSON.

16 - La déclaration de cessation de paiement a donc été fixée 
       frauduleusement, au  1er juillet 2004  pour être, à toute force, 
       antérieure à l’insaisissabilité de la maison.


E – LES DETTES NEES AVANT LA PUBLICATION 
       D’INSAISISSABILITE 
       relevées par Monsieur le Juge Commissaire dans son ordonnance 
       du 22/11/2010 (pièce n° 5)

17 - La CMDP, n’est pas recevable puisque non conforme à l’Ordonnance
        sur laquelle cette Caisse s’appuie (pièce n° 6)

18 - La Société Générale n’a déposé aucune déclaration de créance
       recevable dans cette procédure de liquidation  et ne peut, en tout état de
       cause, revendiquer une quelconque décision qui n’a pas été signifiée,

       créances créance recevable dans cette procédure de liquidation  et ne peut, en tout 

       état de cause, revendiquer une  quelconque décision  qui n’a pas été signifiée, 

19 - La Chambre de Commerce et d’Industrie des Vosges n’a déposé aucune
         créances créance recevable dans cette procédure de liquidation  et ne peut, en tout          
         état de cause, revendiquer une  quelconque décision  qui n’a pas été signifiée

20 - Monsieur François ROBEY, n’a déposé aucune déclaration de créances
        recevable dans cette procédure de liquidation  et ne peut, en tout état
       de cause, revendiquer une quelconque décision qui  n’a pas été  signifiée,
   
21 – Trésor public . Cette déclaration de se décompose en trois créances .
        La première pour la période du 01/07/2002 au 30/06/2003 repose sur
        une taxation arbitraire de  4 605.00 ?  L’expert comptable de l’entreprise
        a d’ailleurs justifié son bilan pour faire annuler la dite taxation réalisée
        précipitamment par les services fiscaux.  (pièce n°7)
        Cette taxation ne tient d’ailleurs pas compte d’un crédit de TVA
        reconnu de 3 800€,  pour la même période.
        Les deux autres créances sont relatives à des périodes postérieures à
        la déclaration d’insaisissabilité  (pièce n°8)


F – PAR CES MOTIFS

Monsieur le Juge Commissaire de la liquidation judiciaire du défendant,
 dira dans son Ordonnance :

22  - Que la Caisse des Congés Payés du Bâtiment de  la Région Est a 
        produit une déclaration  de créances, qui ne relève aucune
        cotisation due, et encore moins antérieurement à la déclaration
        d’insaisissabilité du bien immobilier de Jean-Claude PONSON,

23 - Que cette pièce doit obligatoirement être exigée par les juges de
        la Chambre Commerciale,

   24 - Que ces juges doivent statuer au regard de cette pièce majeure, comme
           la Loi le dicte. Et ne pas se contenter d’un relevé de dette réduite à un
           chiffre pour des cotisations prétendues antérieures à la  déclaration
           d’insaisissabilité du bien  immobilier de Jean-Claude PONSON,

25    - Que la déclaration de créance de la CMDP, n’est pas recevable 
        puisque non conforme à l’Ordonnance  sur laquelle cette Caisse
        s’appuie,

26    -  Que  La Société Générale n’a déposé aucune déclaration de créance 
         recevable dans cette procédure de liquidation  et ne peut, en tout état
         de cause, revendique une quelconque décision  qui n’a pas été signifiée,

27 – Que la Chambre de Commerce et d’Industrie des Vosges n’a déposé
        aucune déclaration de créances créance recevable dans cette procédure
        de liquidation  et ne peut, en tout état de cause, revendiquer une
         quelconque décision  qui n’a pas été signifiée, 
28 -  Que Monsieur François ROBEY, n’a déposé aucune déclaration de
         créances recevable dans cette procédure  de liquidation  et ne peut,
         en tout état de cause, revendiquer une  quelconque décision  qui  n’a
         pas été signifiée,
  
    29 -  Que pour le Trésor public, sa déclaration de se décompose en trois
             créances .
             La première pour la période du 01/07/2002 au 30/06/2003 repose sur
             une taxation arbitraire de  4 605.00 ?  L’expert comptable de l’entreprise
             a d’ailleurs justifié son bilan pour faire annuler la dite taxation forfaitaire,
             réalisée précipitamment par les services fiscaux. (pièce n°7)
             Cette taxation ne tient d’ailleurs pas compte d’un crédit de TVA
             reconnu de 3 800€, pour la même période.
             Les deux autres créances sont relatives à des périodes postérieures à la
             déclaration d’insaisissabilité  (pièce n°8) , 2005 : 2601.00 et 2005 :
             2700.00.

30 – Que le relevé de créances estimé à 290 00.00€  n’est, en fait qu’une 
             augmentation 
             artificielle du passif, pour justifier la  liquidation, et que après sept ans  
             de réflexion plus tard, le tribunal s’avisera que   le passif est finalement  
             est réduit à sa plus simple expression.
      
 31 – Que la seule et unique créance retenue et recevable, est, de toute évidence,
            postérieure 
             à la déclaration  d’insaisissabilité du bien  immobilier

32 -  Que la date retenue, par les différentes instances qui ont eu à 
         statuer dans cette
            procédure, pour étant la date  effective de cessation de paiement 
            de Jean-Claude PONSON, n’est pas le 1er juillet 2004, mais ne 
            peut être que le 27 septembre 2005,

Monsieur le Juge  Commissaire devra prononcer irrecevable,  la requête de la
SCP BIHR – LE CARRER - NAJEAN, pour se qui concerne, la saisie
immobilière à l’encontre du bien de Jean-Claude PONSON, et en tout état de
cause que les créances retenues par le demandeur, sont mal formulées,
infondées, ou parfaitement inexactes , et en tous cas irrecevables.


Sous toutes réserves

                                                        BORDEREAU DE PIECES :

                           Pièce n°1 :   jugement de liquidation du 27 septembre 2005
                           Pièce n°2 :   état des créances, produit  au 29 juin 2006
                           Pièce n°3 :   déclaration de créances CCPBRE
                           Pièce n°4 :   jurisprudence :jugement en révision aff. MOUSELLI / LIQUIDATEUR
                           Pièce n°5 :   extrait d’Ordonnance pour relevé de créances retenues
                           Pièce n°6 :   créance CMDP non conforme à l’Ordonnance
                           Pièce n°7 :   la créances annulée
                           Pièce n°8 :   les deux créances postérieurs à l’insaisissabilité
                           Pièce n°9 :    extrait décision Conseiller doyen PINOT
           

samedi 23 avril 2011

0001 Affaire Jean-Claude PONSON contre les criminels des services de justice

Il ressort de cet article, que les juges du tribunal de commerce, le procureur, les avocats, le liquidateur, ont délibérément occulté des débats, une déclaration de créance de la Caisse de Congés Payés du Bâtiment, réduite à de menus frais. Aucune cotisation déclarée impayée. Il faut croire que la déclaration de créances était juste indispensable pour servir d'alibi dans la procédure de liquidation. Lors des débats, tout ce petit monde s'est contenté de s'appuyer sur des relances de cotisations indues, et d'ailleurs régulièrement contestées par JC Ponson. Des courriers qui n'ont aucune valeur juridique dans ce type de procédure. Pire, les juges de la Cour de Cassation qui devaient, immanquablement reconnaître cette faute énorme de droit, se sont contentés de respecter le pacte maçonnique, "la chaine du droit", et ont lamentablement confirmé la décision des juges de la Cour d'Appel.
Il s'agit bien d'une suite d'escroqueries par jugement qui révèle le crime en bande organisée, au sein même des services de justice, y compris à la Cour de Cassation, la plus haute Cour de justice française.

& & &  ............... *** .................. xxx ..................... Des signes qui ne trompent pas !!!!!!!


Il est donc démontré ici, que le pacte maçonnique "La Chaîne du Droit" , http://www.reds.msh-paris.fr/publications/revue/pdf/ds01/001-07.pdf

est une entrave à la manifestation de la vérité, et n'est, en fait, que la promotion d'un trafic d'influence généralisé, orchestré par les services de justice de la première instance et suivi, aveuglément, par les juges de la Cour d'Appel et de la Cour de Cassation.

Les requêtes ne sont donc que des leurres .
Et on se demande bien quelles sont les raisons de maintenir, en l'état, des fonctionnaires hautement rémunérés, réunis en fraternelle maçonnique, qui se contentent de faire de la figuration dans une mauvaise pièce de théâtre.
Avant d'accorder des moyens financiers importants pour accentuer le gavage, il serait peut-être intéressant d'utiliser les fonds acquis pour obtenir un travail sérieux et ....réel.
Si des moyens devaient être accordés, ce serait aux seules fins de créer un tribunal spécial, composé d'une formation d'un juge et de 12 jurés.
Ce tribunal spécial serait exclusivement réservé aux seuls présumés criminels des services de justice.
L'impunité absolue, dans les faits, des magistrats criminels nous entraîne vers un déclin vertigineux de notre démocratie, désormais reléguée à la 37ème place sur 45 pays européens.

Nous avons d'ailleurs beaucoup de chance que le comparatif de la CEPEJ (Commission Européenne pour l’Efficacité de la Justice ), n'inclue pas les pays africains, puisque ces derniers passent, majoritairement, devant la France !!!!!!!
C'est dire dans quel état sont nos "services judiciaires" !!!!!!!

La justice française est pourrie à un point que très peu de gens peuvent imaginer.
Quand des magistrats sont les criminels de droit commun et qu'ils ont le pouvoir d'imposer leurs quatre volontés à ceux qui seraient intègres, alors dans ce cas, il faut déclarer l'état d'urgence pour faire le grand ménage.

 

(affaire publiée en janvier 2009 par DENONCIATION.COM

http://have-it.com/denonciation/pages/justice/tribunal_de_commerce_d_epinal_affaire_jc_ponson.html#JUSTICE) 

Tribunal de commerce d'Épinal :

affaire Jean-Claude PONSON

Encore une histoire à dormir debout au Tribunal de commerce d'Épinal.
Ces affaires se multiplient en France dans tous les Tribunaux de commerce.
C'est pourquoi Monsieur Jean-Claude PONSON s'est fendu d'une lettre ouverte à la ministre et garde des sceaux : Madame Rachida DATI.
Il semblerait donc vraiment urgent de revoir ce système archaïque Français, en allant même jusqu'à le supprimer complètement comme dans certains autres pays européens ou ces Tribunaux de commerce n'existent pas.

Non seulement le  petit entrepreneur ne peut plus se défendre, mais il semblerait, de plus, que dans ces Tribunaux de commerce on abuse de lui avec des erreurs volontaires ou des règles inventées qui l'enfonceront automatiquement.
Bertrand BIHR mandataire liquidateur à Épinal dans cette affaire, semble démontrer le réel mépris pour une justice indépendante et sereine.
Nous sommes certains que Madame la Ministre et Garde des Sceaux Rachida DATI se fera un devoir d'intervenir dans ce dysfonctionnement notoire de la justice, malgré la séparation des pouvoirs. 
En effet, l'indépendance de la justice ne peut passer par la dépendance d'une organisation de Faux Frères et Soeurs, appartenant à de puissantes loges maçonniques.
(Vidéo à visionner Franc-maçonnerie/Eric de Montgolfier)
Car il s'agit bien la d'un déni de justice, donc d'un déni de démocratie qui fait ressembler la France à une république bananière de la pire espèce.


Résumé de l'affaire 
par Jean-Claude PONSON 

 

Impliqués directement dans cette affaire Juges, auxiliaires de justice,  et divers :
  • AUGAY Geoffroy clients de mon entreprise,
  • AUGAY Évelyne chef greffière TGI Épinal,
  • LAIBE Jean-François expert judiciaire TGI Épinal,
  • MARTIN Francis juge TGI Épinal,
  • OHNIMUS [Prénom] Présidente tribunal de commerce Épinal,
  • BRUN [Prénom] juge tribunal de commerce Épinal (lui-même en situation de liquidation),
  • ROUMIEUX Jean-Marie juge Épinal ( ancien président de l'union des commerçants),
  • BIHR Bertrand  mandataire liquidateur Épinal,
  • HEICHINGER Jean-Marc huissier de justice Épinal,
  • LAPORTE Jean-Pierre directeur URSSAF des Vosges Épinal,
  • MARCHAL Bernard procureur de la République Épinal,
  • BONET LEINSTER WISNIEWSKY mon avoué  Nancy,
  • CHARDON Alain avoué de la partie adverse Nancy,
  • NAVREZ Lucile avoué de la partie adverse Nancy,
  • FOURNIER Yves juge commissaire tribunal commerce Épinal.
  • LE BRET-DESACHE, avocat à la Cour de Cassation 4 rue Descombes
            75017  PARIS

Chauffagiste à mon compte, j'obtiens le 26/11/99 la conformité gaz de l'installation de chauffage (chaudière ventouse murale gaz naturel, le haut de gamme de chez Saunier Duval + radiateurs ) de M. AUGAY Geoffroy qui a fait construire un pavillon.
A ce moment seulement, je reçois la somme de 5.100€ (mon installation est terminée) sur les 9 000€ du marché !
Le technicien GDF a des problèmes pour la mise en service du compteur puisque les conduites, pleines d'eau, sont restées trop longtemps au gré des intempéries.
M. Geoffroy AUGAY  me fait parvenir une injonction de faire le 23/12/99, en demandant :
"la réparation du chauffage central qui fonctionne mal et qui m'empêche d'occuper mon habitation"
Jean-François LAIBE expert judiciaire est nommé par le tribunal.
Saunier Duval expédie un bloc gaz gratuit afin de remplacer celui endommagé par l'eau.
Et de mon côté, j'accepte de faire, à ma charge, le dépannage ainsi que l'assèchement des conduites de GDF.
Et ce, sur la demande de l'expert qui conseille un geste commercial en assurant que M. AUGAY Geoffroy va calmer ses ardeurs.
Mais rien n'y fait M. Geoffroy AUGAY  veut changer la chaudière (en fait, son but premier) pour une autre marque, plus fiable selon lui.
Il en profite d'ailleurs pour me demander de poser gratuitement un réducteur de pression !
Au cours des deux rendez vous d'expertise nous n'avons pas constaté d'anomalie.
Seule une fuite importante est détectée au niveau d'un écrou de radiateur, complètement desserré (3 mois après la mise en service !!!)
Et l'expert précise dans son rapport :
"aucune autre défaillance rencontrée par Monsieur M. AUGAY Geoffroy n'a pu être détectée"
Mais, à ma grande surprise, l'expert dit également :
"que la chaudière est litigieuse et propose son remplacement par un modèle équivalent, estimant que celle qui est en place présente un vice caché"
Il considère que l'ensemble du coût des travaux  sera supporté par l'entreprise".
Jugement rendu par le Juge Francis MARTIN : je dois payer le replacement de la chaudière, 1750€, la pose, 730€, la TVA, 487€ et 915€ de préjudice.
Quelques mois plus tard, dépité, je parle de cette affaire avec un collègue, qui m'explique que M. Geoffroy AUGAY  est, en fait, le fils d'un représentant régional du parti  communiste et de la chef greffière du Tribunal de Grande Instance d'Épinal Mme. AUGAY Évelyne, également membre éminent du même parti politique.
A la suite de quoi, j'ai demandé une contre expertise avec la présence d'un technicien Saunier Duval.
Par sommation interpellative je demande à Maître Longchamp, huissier de justice de faire sommation à M. AUGAY Geoffroy de ne pas démonter la chaudière.
Et le 2 janvier 2001, l'huissier note sur la sommation, qu'il lui a été répondu:
"qu'il n'était pas question de changer la chaudière" !!!

L'expert LEROMAIN [Prénom] nommé nous convoque ( Saunier et moi ) et demande à LAIBE, le premier expert, d'assister à son expertise : refus catégorique de ce dernier.
Rapport LEROMAIN [Prénom] :
"L'installation parait correctement dimensionnée et est proprement réalisée. Il nous semble que l'essentiel des difficultés rencontrées soit en relation avec une certaine humidité dans les lieux d'installation"... 
Ce qui n'a rien d'extraordinaire dans le garage d'une maison neuve.
Monsieur LEROMAIN déclare, par ailleurs :
En octobre, fortuitement, nous avons rencontré Monsieur M. Geoffroy AUGAY qui ne nous a fait part d'aucune remarque quant au fonctionnement de la chaudière.
Fin décembre l'épouse de M. AUGAY Geoffroy a précisé que le fonctionnement de l'installation de chauffage était sans problème.
Compte tenu des conditions atmosphériques (jusqu'à -20°) nous retenons que le fonctionnement de l'installation est correct".
Ce qui n'empêchera pas M. Geoffroy AUGAY  d'aller trouver, le 5 juin 2001, l'huissier [Prénom] THIEBAUD-GSCHWEND pour une demande de saisie attribution (saisie des comptes de l'entreprise), réalisée le 5 juin 2001 !
A la suite de quoi j'ai voulu la fin de l'histoire Geoffroy AUGAY.

Mais la chef greffière Évelyne AUGAY ne la pas entendu de cette oreille.
Car, depuis je vis l'enfer.



Expertises bidon, montages grossiers , la FRATERNELLE MACONNIQUE se déchaîne !!!!!!!    :

du service des impôts, de l'URSSAF, de la Caisse de Congés Payés .

Ainsi :
  1. Les impôts : Je suis en crédit de TVA comme beaucoup d'artisans (différence entre TVA facturée à 5.5% et achats à 19.6%)  à savoir : 3800€.

    Il me faut attendre 2 ans (normalement tous les trimestres)  pour qu'on me "prévienne" du remboursement imminent.

    Mais entre temps les mêmes personnes m'accusent de ne pas avoir fait mes deux dernières déclarations de TVA (impossible puisqu'elles démontrent un remboursement encore plus important!) et m'appliquent une majoration forfaitaire de TVA de 5.800€ ce qui engendre une imposition sur le revenu de 30.000€.

    Ces résultats sont communiqués à l'URSSAF qui applique un redressement de cotisation de 12.000€ !!!
  2. La Caisse de Congés Payés du Bâtiment me réclame trois fois ce que va encaisser le salarié de l'entreprise, au titre de ses congés payés annuels.

    Ce que je conteste évidemment.

    La Caisse de Congés Payés du Bâtiment , pour un litige qu'elle estime à 3.600€ ou à 4.400€, suivant les courriers, va réclamer la liquidation  judiciaire de mon entreprise malgré les évidentes oppositions à injonctions, laissées sans suite par le tribunal de commerce.
Au terme d'une enquête sérieusement bâclée, réalisée par le Juge Commissaire Yves FOURNIER et malgré les invocations légales de mon avocat, j'ai été mis en liquidation de la façon la plus sèche qui soit.
Cela ne leur a pas suffi, puisqu'ils ont envoyé l'huissier de justice Jean-Marc HEICHINGER 23 Quai Lapicque à Épinal établir de faux constats sur mon compte bancaire et affirmer que l'entreprise était en déroute financière complète, en faisant fi de mes relevés de compte qui démontraient tout à fait le contraire.
(voir relevé d'agios de la Banque Populaire)
La Cour d'Appel de Nancy à confirmé le jugement en expliquant que ma situation financière était catastrophique depuis le refus, par la banque, de mon découvert autorisé.
(voir autorisation de découvert de la Banque Populaire)
Ce qui n'a jamais été le cas, puisqu'il m'a été produit une attestation de bon fonctionnement de mes comptes bancaires !!!
J'ai déposé plainte contre l'huissier HEICHINGER Jean-Marc.
Mais pourquoi le Procureur Bernard MARCHAL et le parquet de Colmar n'arrivent ils pas à se saisir de la personne de l'huissier Jean-Marc HEICHINGER, installé aujourd'hui à GUEBWILLER 68500 ? Nous ne sommes pourtant pas dans le maquis Corse ! à moins que ? C'est à se demander s'il y a encore des gendarmes en Alsace ? On pourrait aussi dire : mais que fait donc la Police du Procureur ? 
J'ai fait une lettre ouverte à Rachida DATI Ministre de la Justice.
(voir ci-dessus)
Et j'ai fait un pourvoi en Cassation.
Aujourd'hui 24 février 2009, je reçois une ordonnance du Juge Commissaire Yves FOURNIER qui a décidé de vendre ma maison, sur requête de BIHR Bertrand, mandataire liquidateur Épinal et juge tribunal de commerce.
Le mandataire liquidateur à Épinal Bertrand BIHR, serait-il l'éminence grise du tribunal de commerce d'Épinal ?
J'ai, bien entendu fait un recours à ce sujet, dans la foulée. Je vous tiens informés du prochain épisode, qui, j'espère, ne se terminera pas par un assassinat moral.


POURVOI  ROCAMBOLESQUE  A  LA  COUR  DE CASSATION.

LE BRET-DESACHE Claire Avocat au Conseil d'Etat & Cour de Cassation

Claire LE BRET-DESACHÉ

4, rue Descombes 75017 Paris

Tél : 01 44 29 29 30
Fax : 01 44 29 28 55


me demande de lui régler la totalité de ses honoraires, à savoir 2500€ , et ce afin de pouvoir regarder le dossier.  
Ce qui fut fait.  
Au lendemain, Maître Claire LE BRET-DESACHE, me signale que ce pourvoi est voué à l'échec et qu'elle ne présentera pas de mémoire.  
Les 2500€ pour étudier le dossier ne seront évidemment pas remboursés.

 Je comprends qu'il s'agit là d'une escroquerie (une de plus).  
Et je menace l'avocate de me rendre à son cabinet et de jeter tous ses dossiers par la fenêtre.

L'avocate, convaincue de mon potentiel, finit par accepter. 
Je lui confirme les dysfonctionnements du tribunal de commerce d'EPINAL,
  par mail le 26/08/09 :

Le dernier courrier du juge commissaire se contente d'un passif réduit à une peau de chagrin. N'est ce pas la preuve que le tribunal s'est appuyé sur un passif exigible créé de toute pièce
pour motiver la liquidation.

Sur les 5 injonctions de payer que la Caisse cite dans ses conclusions, je n'en ai reçu que deux pour lesquelles j'ai fait opposition. En effet ces deux injonctions portaient sur la même période,
jour pour jour, avec des montants complètement différents.
Pour les trois autres injonctions elles ne peuvent exister, puisque une seule et unique période est mise en cause. 

Et d'ailleurs les trois pièces n'ont jamais été transmises au dossier. Ce qui est parfaitement irrecevable,  puisqu'argument sans preuve .......et pour cause !!!!!

Aucune pièce concernant le constat de l'huissier Heichinger à propos de cette fausse déclaration de découvert de 15 000€. 

J'ai déposé plainte : classée sans suite,  "faute d'éléments". Par ailleurs il n'est pas fait état de ce grief en première instance. Il n'a été question de ce constat qu'en appel.

Dans le jugement de première instance : aucune motivation, pas un seul compte chiffré.

La liquidation repose sur le seul fait que j'aurais sollicité ma liquidation, ce qui est parfaitement inexacte.
Si cela avait été, le tribunal était tenu de constater un chiffrage pour motiver la liquidation.

Évidemment, toujours pas d'argument pour  la liquidation !!!!!! 

Maître François DANGLEHANT prépare donc le mémoire qu'il remettra à LE BRET-DESACHE, afin qu'elle le dépose à la Cour de Cassation.  
Mais l'avocate refuse de déposer le mémoire de Danglehant, qui comporte pas moins de 5 moyens, tous aussi convainquants et pertinents.  
LE BRET-DESACHE refuse de déposer le très bon mémoire de DANGLEHANT, pour ne retenir qu'un seul et unique moyen, parfaitement bidon.  
LE BRET-DESACHE fait donc partie de la bande organisée de malfrats, ou  est aux ordres, ce qui revient au même. 

Encore sous la menace, LE BRET-DESACHE finira par accepter de déposer un mémoire comportant 4 moyens retenus par DANGLEHANT.  

Deux ans plus tard, début février 2011, le juge commissaire revendique la vente de la maison.  
Ce à quoi je fais opposition, n'ayant toujours pas la décision de la Cour de Cassation.  

Mais, cette fois, allez savoir pourquoi, j'apprends, par voie de presse, donc sans avoir reçu aucune décision de justice (cela limite les contestations !!!!!) , que ma maison sera mise aux enchères publiques le 20 mai 2011.

 

Il va donc falloir encore se battre contre la bande organisée de criminels des services de justice d'EPINAL.

 

Information additionnelle concernant "La Chaîne du Droit".

Dans toutes les conclusions d'avoués, il sera reconnu les signes  maçonniques dans cette ténébreuse affaire, orchestrée par les criminels de droits commun des services de justice d’Épinal.

Il me semble indispensable de connaître ce pacte maçonnique : "La Chaîne du Droit", pour donner l'importance qu'il convient, aux signes maçonniques et faire enlever ce moyen de communication, dans les "conclusions", entre avocats, avoués d'un coté, et juges, de l'autre.
Il s'agit bien de ça : les arrangements discrets (sic)!

Dans mon courrier à Madame la Ministre Rachida DATI, et en ce qui concerne "la chaîne du Droit", Madame la Ministre Rachida DATI est avocate et digèrera, sans aucune difficultés, la lecture de ce pacte maçonnique.
Vous pouvez, d'ailleurs, le retrouver sur internet.
Vous verrez comment les lignes directives sont données, dés les premiers pas de la procédure.
Des lignes qui ne peuvent pas être rompues, d'où les fameux codes maçonniques :
*** = (s'impose à tout franc-maçon),
***** = (à lire attentivement).
Ces signes ne sont pas obligatoirement des étoiles, il peuvent être aussi : oOo, ooo , ¤¤¤ , &&&   etc..
Cette charte est appliquée par la plupart des magistrats et auxiliaires de justice, puisque la plupart sont francs-maçons.
Le drame est que les bons sont tenus de suivre les instructions de ceux qui sont directement intéressés par le profit de la liquidation, de la saisie : les affairistes ou "Faux frères" comme les appelle le Procureur de Nice Eric de Montgolfier.
(Vidéo à visionner Franc-maçonnerie/Eric de Montgolfier)

Alors, que les francs-maçons se donnent les moyens de faire le ménage ou, tout bonnement, respectent le droit de rendre un procès juste, le droit de reconsidérer véritablement les données de la première instance.
Mais, à priori, ils préfèrent se laisser porter dans une somnolence réparatrice (la bonne chaire, les plaisirs de la vie, ...ça fatigue!).
Qu'ils fassent ce pourquoi il sont payés : rendre la Justice de la République en leur âme et conscience.
Et pas sur les instructions de leurs petits copains censés être honnêtes.


21 Mars 2008 - DERNIÈRE NOUVELLE : Nous avons été informé que le mandataire judiciaire BIHR Bertrand  se serait offusqué des déclarations faites sur le site DENONCIATION.com. Nous lui conseillons donc d'user de son droit de réponse prévu en bas de toutes les pages (dans l'encadré et  en bas de page) pour nous faire connaître son point de vue et nous indiquer les modifications qu'il jugerait utiles.


COMMENTAIRE DE ANTOINE TALENS A MAÎTRE GIROUD AVOCAT

( ceci est une information pour ceux qui ne connaissent pas vraiment le fonctionnement des services de justice français !!!!!!!!)

Me Patrice GIROUD dit :

"Quant à la collusion supposée entre magistrats et bâtonniers, elle ne repose sur aucun élément !« C'est même méconnaître gravement le mécanisme judiciaire que de le penser !« Nous nous exprimons cependant librement sur se site public et nos opinions méritent toutes le respect surtout lorsque les identités sont dévoilées."
Antoine TALENS dit :
6 novembre 2008 à 5:33

Il est bien question de gouvernance et pour reprendre les termes d'un autre intervenant ; « les contribuables, ne payent pas des impôts pour entretenir des « seigneurs » »…,
Bâtonnier de Cour… Diable !
Voilà un roitelet de plus, dans les « parasites » qui spolient les justiciables de leurs droits fondamentaux en totale impunité…
Concernant ces tyrans, totalement dénué de sens et de JUSTICE, nous avons déjà donné…
Vous dites avoir : « envisagé une évolution allant dans le sens de la simplification »…
Manifestement, vous avez pris le mauvais sens, car nous savons par expérience, ce que veut dire « simplifier » dans le jargon judiciaire ; un dossier sensible : direction LA TRAPE !
Concernant la collusion avéré et irréfutable du petit monde judiciaire, propos qui, au surplus sont une véritable « insulte » a l'intellect du justiciable broyé par système de la caste.
Les magistrats et autres tenants de privilèges médiévaux, s'ayant octroyé un pouvoir sans aucune légitimité, oppriment les citoyens, sans avoir à rendre compte de leurs actes ignobles et des décisions prises ailleurs que dans les salles d'audiences, qui sont de véritables tortures psychologiques et terrorisme intellectuel pour les citoyens opprimé !
Le mécanisme judiciaire, comme vous dites, on le connaît bien… les justiciables ne sont plus ce qu'ils étaient…pour vous en convaincre, il vous est facile de vérifier par vous-même, par un simple clic !
Mais il est vrai, que ce « mécanisme judiciaire » a des avantage certains selon que vous serez puissant ou misérable, considérant que les avantages, vont toujours dans le que vous proposez et illustré royalement par les scandales fracassants, tel Tribunal arbitral de monsieur B.T…
Ah… ! Liberté, égalité, fraternité…REALITE ?
Comment pouvez-vous affirmer, bien connaître le métier d'avocat en ignorant les réalités depuis 35 ans ?
Vu les Articles 432-7, 434-4 CP, 434-9 CP
Considérant que des officiers publics ministériels, mandataires de justice, et des personnes agissant dans le cadre d'une mission de service public, en infraction du Code Pénal (arts.441-1 et 441-4 al.3 & 313-1 et s/CP) dans l'exercice de leurs fonctions et faisant partie de la communauté des gens de justice de *** ; parties au litige, portent gravement atteinte aux droits de la défense pour me prive d'ester équitablement en justice;
Considérant qu'ils peuvent être taxés de partialité au regard des articles 6, 13, 14 CEDH de la Convention de Sauvegarde, et plus précisément de "partialité subjective" au sens de la jurisprudence européenne faisant entrave au procès équitable;
Considérant que la partialité est attestée par les carences et manquements déontologiques inhabituellement nombreux soulevés dans la prétendu « procédure collective ».
Que la discrimination, la partialité et l'entrave, tenant synthétiquement à des refus de faire, absence de réponses, erreurs juridiques grossières, défaut ou insuffisance de motifs, dénaturation des faits, absence TOTALE de base légale, occultation d'éléments essentiels du dossier et notamment les pièces légalement probantes de la licité de l'action en abus de droit et de qualité, corroboré par les manœuvres dilatoires et décisions arbitraires et tyranniques depuis le du jugement déclaratif du 5 Novembre 1993 prononcé par le TC de *** en fraude de loi d'ordre public.
Cher Maitre, nous sommes d'accord sur un seul point parfaitement respectable ;
« Nous nous exprimons cependant librement sur se site public et nos opinions méritent toutes le respect surtout lorsque les identités sont dévoilées ».
Antoine TALENS : Citoyen spolié de ses droits fondamentaux et de son patrimoine, par des pseudos experts, mandataires, magistrats, juges « bénévoles » avocats et BATONNIERS, en collusion…Bref, ce que vous appelez : « méconnaître gravement le mécanisme judiciaire »…
Bien cordialement,



LES  JUGES  VOYOUS  A  LA  COUR  DE  CASSATION


Jean-Claude Ponson
Agence Jean-Claude Ponson
15 Route de Méménil
88600 FONTENAY                       
                              LETTRE OUVERTE           à                 
                                                                                       Vincent LAMANDA
                                                                                          Premier Président
                                                                                          de la Cour de Cassation
                                                                                        5 quai de l’Horloge,
                                                                                        75055 PARIS CEDEX 01
                                                                                                   

                                                               Fontenay le 05/10/2010

AFFAIRE : GAC
Requête  n° M 10-01.131
Arrêt n° 1901 F-D
  
Monsieur le Premier Président,
Je tiens à vous tenir informé des faits suivants:
Dans l’affaire citée en référence, un arrêt de la Cour de Cassation vient de rejeter la requête en récusation sous le prétexte que la récusation n'aurait pas été déposée au TGI de LAVAL.
Ce qui est faux.
La requête en récusation a bien été déposée le 18 juin 2010, en pièces jointes, avec l'accusé de réception.
Au moins, tous les magistrats de la Cour de Cassation devrait connaître la définition de l’escroquerie par jugement donnée par la Cour de Cassation, elle-même :
« C’est le fait d’obtenir frauduleusement une décision de justice pour porter préjudice à son contradicteur. L’escroquerie par jugement est caractérisée dès lors que des manœuvres frauduleuses sont entreprises au cours d’un procès pour tromper le juge.
La tentative d’escroquerie par jugement est consommée lorsqu’un plaideur tente de démontrer frauduleusement de l’existence d’un droit, en ce sens, CA PARIS, 27 juin 1963
Considérant … qu’une action en Justice n’est que l’exercice d’un droit … qu’il ne suffit … pas …, pour que le délit d’escroquerie dite au jugement soit constitué, que la plaideur formule des allégations mensongères et provoque, de mauvaise foi, l’intervention de l’appareil judiciaire ; qu’il faut aussi que pour obtenir la décision de justice grâce à laquelle il a l’intention de parvenir à la spoliation de son adversaire, il utilise une fausse qualité ou des manœuvres frauduleuses » .
Nous sommes donc en présence de magistrats qui pratiquent, eux mêmes, l‘escroquerie par jugement, en écartant d‘autorité, une pièce maîtresse et, ainsi,  revendiquer un motif sérieux, à savoir l’absence du-dit document,  pour mieux rejeter le pourvoi.
La décision frauduleuse, citée ici,  de la Cour de Cassation est rendue par un collège de trois magistrats:
Eric ALT, conseiller référendaire
Tony MOUSSA, conseiller,
Dominique LORIFERNE, Président de Chambre
Ces magistrats devraient être réputés « au-dessus de tout soupçon».
En effet , paru dans Le Monde Diplomatique:
Eric Alt : Magistrat, membre du Syndicat de la magistrature, coauteur de La Lutte contre la corruption, Presses universitaires de France, Paris, 1997.
"................La lutte contre la corruption semble être une impérieuse priorité internationale. Pourtant, en pratique, l’impunité demeure.
C’est peut-être aussi pourquoi sur 582 000 condamnations pour délits prononcées en France, en 2006, 149 concernaient des faits de corruption (8). Soit 0,025 %...
Mais l’essentiel se trouve peut-être ailleurs. Si la justice n’est pas corrompue en France, elle est en proie à un conflit d’intérêts permanent. C’est en effet le parquet qui dispose du monopole des poursuites. Et ce dernier doit, en pratique, servir à la fois l’intérêt général et celui de son autorité hiérarchique directe, le ministère de la justice (7)..........."
Pourquoi ce magistrat en serait venu à une telle forfaiture si ce n’est pour  respecter le devoir de solidarité envers l’éminent président du TGI de Laval, Jean-Patrice DOUCHY, qui depuis vingt ans s’est fait une place de grand maître dans le secteur de Laval et plus.
Il est donc clair que le juge Eric Alt , malgré sa prose, est pris en flagrant délit de trafic d'influence pour ce qui est de la décision citée en référence, dans l'affaire GAC.
Tony MOUSSA : membre de la commission de méthodologie.....................................................................
" ...........Il a paru conforme au rôle régulateur de la Cour de cassation de présenter à l'ensemble des juridictions et, tout particulièrement, aux cours d'appel, des notices méthodologiques relatives à certaines questions de procédure qui suscitent des difficultés. En vue de l'élaboration de ces notices, un groupe de travail a été constitué, sous l'égide de M. Jean Buffet, président de chambre honoraire à la Cour de cassation, actuellement animé par M. Jean-Louis Gallet, conseiller à la Cour de cassation............"
En effet, pour que les décisions de la Cour de Cassation fassent jurisprudence, encore faudrait-il que les dites décisions ne soient pas des escroqueries par jugement !!
Il est donc clair que le juge Tony MOUSSA , malgré ses activités en commission, est pris en flagrant délit de trafic d'influence pour ce qui est de la décision citée en référence, dans l'affaire GAC.
Dominique LORIFERNE, Président de Chambre ...., également membre de la commission de méthodologie !!
Il est donc clair que le juge Dominique LORIFERNE , malgré ses activités en commission, est pris en flagrant délit de trafic d'influence pour ce qui est de la décision citée en référence, dans l'affaire GAC.

Ces trois juges en collège, pris en flagrant délit d‘escroquerie par jugement, peuvent donc être qualifiés d‘escrocs, dans l‘exercice de leur haute fonction, à la Cour de Cassation,  et méritent une sanction exemplaire.
Le fait même, qu' un juge, puisse réaliser une escroquerie est parfaitement inacceptable et relève du "droit commun".
Seul et unique moyen pour protéger le bon fonctionnement de notre justice et poursuivre les juges hors la loi :
un tribunal spécial composé de juges, mais également de 12 jurés, comme en Cour d'Assises.
Maître François DANGLEHANT, contraint, forcé,  doit déposer une nouvelle requête devant le TGI de LAVAL.
Mais également, il engage une procédure en inscription de faux contre :
-l'ordonnance du 3 août 2005 qui désigne un expert à la retraite, et évidemment non inscrit dans la liste des experts ,
- l'arrêt de la cour d'appel d'ORLEANS qui a refusé, en toute connaissance de cause, d'annuler l'ordonnance du 3 août 2010 ;
- l'ordonnance du Président DOUCHY qui désigne un nouvel expert,
- l'arrêt de la cour de cassation qui rejette la récusation sous le prétexte que la récusation n'aurait pas été déposée au TGI de LAVAL . Ce qui est faux.
Monsieur et Madame GAC , les « dindons » de l’escroquerie qui perdure lamentablement, ont de quoi être écœurés.
Je compte sur votre sens du devoir pour diligenter une enquête et prendre les mesures à la hauteur de la forfaiture, puisque vous êtes également membre de la commission disciplinaire du Conseil  Supérieur de de la Magistrature.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier Président, l’expression de mon profond respect.

                                                                                Jean-Claude Ponson


Pour information ( au regard de l’indépendance de la justice)  :  Madame la Garde des Sceaux




EN CONCLUSION,
ET POUR REVENIR A L'AFFAIRE DE LA LIQUIDATION DE JEAN-CLAUDE PONSON, IL EST DEMONTRE, AINSI, QUE LES JUGES DU TRIBUNAL DE COMMERCE D'EPINAL,  LES JUGES DE LA CHAMBRE COMMERCIALE D'APPEL DE NANCY, IMPLIQUES DANS CETTE AFFAIRE, SONT DES ESCROCS NOTOIRES QU'IL FAUT, DE CE FAIT, A TOUT PRIX, ECARTER DES SERVICES DE JUSTICES, ET LES PRESENTER DEVANT UNE COUR SPECIALE, FORMEE PAR UN JURY POPULAIRE.
A MOINS QUE NOUS CONSTATIONS, DANS L'AVENIR,  LA FORMATION DE GROUPES REVOLUTIONNAIRES, LOURDEMENT ARMES, QUI NE FERONT PAS DE QUARTIERS.
LA EST PEUT-ÊTRE LA SOLUTION, SI RIEN EST FAIT.